jeudi 15 septembre 2011

Projection de NICE LAGO au CINEMA ACCATTONE - Paris 5e



N I C E   L A G O


un film de Martin Ziegler


PROJECTION au CINEMA ACCATTONE
20 rue Cujas Paris 5e






MERCREDI 28 SEPTEMMBRE 2011 à 20H00


en présence du réalisateur
suivie du verre de l'amitié


séance unique - sur réservation uniquement
réservez en ligne sur le site de Nice Lago

Quelques commentaires des premiers spectateurs :



« A chaud... Nice Lago vous emmène là où vous ne l'attendez pas : à l'intérieur de vous-même. »

« Comme c'est étrange que ces "images" qui ne sont pourtant que les vôtres […] puissent être aussi, et à ce point les nôtres, celles de chacun ! Autres sœurs ou jumelles. »

« La vie inexprimable/ la seule en fin de compte à laquelle tu acceptes de t'unir, ces mots de Char, vous y êtes parvenu, et je ne vous mens pas. […] Pas de copie à la vie, aucun  retard, mais la vie elle-même aussitôt plein écran. »

« Méditation sur le temps, l'autre temps du temps, vous êtes parvenu à filmer non seulement la solitude, la mort en vie, le rien, mais plus : à filmer une question ! Et cela, sans abstraction ! Sensiblement.
Et comme vous l'avez vraiment fait, la question est devenue Art, son soulèvement qui ne "recouvre" ni ne comble rien, mais est appel, cri. »

« Vos images, Martin Ziegler, nous placent dans votre œil, à même sa rétine quand elle a reçu le coup, ne l'a pas paré, s'en étonne à l'infini. Il est plein de courage ce pari d'un même œil, d'une même écoute, enfin d'un même cœur. »

« Votre film capture son spectateur. Des images me restent en mémoire comme des peintures. J'aime son rythme, rapide, qui nous bouscule ou nous inquiète et puis qui se rompt pour nous installer devant nous-même, notre propre fantasme sur l'image à venir. Vous avez à mes yeux assurément réussi une œuvre. »

«  …Et la fille qui se met à courir à grands bruits de talons dans le parking, c’est ce bruit de ses propres talons qui fait le plus peur, il n’y a rien autour, c’est juste sa peur à elle qui est effrayante. On n’a pas peur parce qu’on est fragile mais on devient fragile parce qu’on a peur. »

« Je ne l’ai pas dit encore mais tout au long du film, j’ai trouvé beaucoup de beauté, de pureté. Surtout les paysages, certains regards, et la musique… J’ai ressenti de la nostalgie de la douceur et de l’angoisse. Quoiqu’il en soit dans la tête des gens, ce film ne peut pas laisser indifférent. »

« Ces images précisément (intérieur nuit ou extérieur jour) quelquefois somptueuses ou beaucoup plus intimes, forment de quasi-peintures, oui, una fantasia. »

« L'alternance des plans nuit et jour, la lumière, la couleur, le cadrage en font une œuvre picturale magnifiquement orchestrée. »

« Beaucoup de sentiments étranges. Dérangeants. Le premier ou le plus fréquent étant la volonté mais l’incapacité de comprendre ce qui se passe, où l’on va. Exactement ce qui se passe dans la vie.
La nudité. D’un lieu, d’un corps, d’un instant figé, et du coup la fragilité. On n’est vraiment rien.
Ce qu’il y a à faire ? Attraper les petits morceaux de soleil comme la jeune femme en jaune à la fin du film. »

« Chaque image du film a la puissance, éclatante, vibrante, d'une métaphore... qui en éveille une autre... et encore une autre... Très beau ! »

« Nice Lago n'est pas un film d'écrivain, pas un film de plasticien. Martin Ziegler nous entraîne dans une partition subtile où l'on se laisse surprendre par le rythme, par le plan suivant qui nous amène dans une autre direction : visions, angles de vue, perception, perspective témoignent d'un vrai regard. On pourrait comparer ce film à un fragment de miroir dans lequel se reflèterait par magie le ciel tout entier. »

« Une œuvre laisse une empreinte quand elle se "reconstruit" dans la tête de celui qui la "reçoit" et échappe ainsi en partie à son auteur. Je pense que c'est le cas de Nice Lago. »

« Je viens de découvrir votre étonnant travail de cinéma et ne sais comment vous remercier. C'est tout bonnement magnifique et fort ; tout est irréel et fantasme ; tout est pureté et ombre du Soleil. »

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